Le partitionnement
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D'or au chef de gueules chargé d'un léopard d'or lampassé de gueules ; au chevron
de même, équerré et pointant en abime, chargé à dextre de trois coquilles
d'or et à senestre de trois alérions d'argent ; accompagné de trois
lionceaux de gueules, deux de flancs et un en pointe. Pourquoi le léopard d'or lampassé de gueules? Nos racines Normandes et Jersiaises. Pourquoi les 3 alérions d'argent? Nos nombreuses racines Lorraines (D'or, à la bande de gueule, chargée de trois alérions d'argent). Pourquoi les 3 coquilles d'or? Des ancêtres à Mazières-en-Gâtine où l'armorial porte des coquilles. Nous avons aussi de nombreux ancêtres à Canville-la-Rocque. Dans l'église Saint-Malo on retrouve des fresques liées au pélerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Un clin d'oeil, aussi, à une branche Surcouf qui aurait eu ces coquilles sur ses armoiries ; branche convergeant avant 1600, comme la nôtre, sur les communes gravitant autour de Sortosville-en-Beaumont (mais sans avoir trouvé le lien). Pourquoi les 3 lionceaux s'ouvrant de pointe en flancs? Nos origines Poitevines. Les descendants de la branche REMY - CAYROU y retrouvant aussi les 3 lionceaux de la Picardie. Les descendants de la branche REMY - CHARTON y retrouvant aussi, en pointe, un lion de Franche-Comté. Pourquoi le chevron équerré? Notre droiture. A noter que la commune Poitevine de La-Trimouille, et son canton où naquirent et vécurent de nombreux ancêtres de la branche VIGNAUD, porte dans son blason un chevron de gueules, équerré, et trois alérions d'azur s'ouvrant de pointe en chef, tel un compas. |
Et nous avons pris à notre compte une devise : VERVM ET TVTA FIDES, VERE DITANT qui peut s'exprimer en : • Vérité et bonne foi sont richesses • La vérité et une sage confiance enrichissent vraiment • La vérité et une foi à toute épreuve sont les seules richesses • Le vrai et la foi gardée enrichissent véritablement Cette devise, énoncée dans les mémoires de Sébastien REMY est tracée dans le marbre au fronton d'une porte, 5 rue de la Source à Nancy. Porte que notre ancêtre franchissait au quotidien de 1875 à 1880 pour rejoindre sa chambre d'étudiant lors de ses d'études en Médecine. |